Vol au-dessus d'un nid de corneilles

Le ciel est pourri, mais il n'était pas mieux en naturel, les grands ciels bleus, ce n'est pas encore pour tout de suite, semble-t-il

Le ciel est pourri certes mais tu t'en sors plutôt bien avec la 3 Parce que noir sur blanc c'est pas facile.

 jolie série cdc pour la 1
comme quoi même avec un temps bouché on sait s'occuper

Nom d'une pipe, elles sont chouettes tes corneilles. Outre la gestion du noir sur blanc qui est top, je trouve la 3 très belle, très graphique, avec ce superbe arbre.

Merci pour vos appréciations

Je commence tout doucement à m'en sortir avec cet objectif ! Et ce n'est pas encore gagné ... il faut vraiment en revenir aux fondamentaux et avec un GX 7 bourré d'automatismes qui n'en font qu'à leur tête ce n'est pas évident du tout.

"LA" photo, je l'avais hier à portée d'objectif, mais il manque un peu de tout : cadrage, netteté, vitesse, sensibilité et surtout une fraction de seconde, mais je l'ai conservée quand même. Je la mets dans le spoiler ci-dessous juste pour mémoire d'une photo loupée

Fâcherie de corneilles:

Super bien capté !
le ciel pourri marche super bien avec cet oiseau !!!

Belle envolée sur le 1ère.

Eh oui Lison ! Ça fait presque du N&B, heureusement qu'il y a un peu de vert du cèdre pour annoncer discrètement la couleur
Merci pour la visite

Merci Jean-Paul

la 1. et chopée au bon moment !!!

on voit drôlement bien le rôle des plumes à l'extrados de l'aile : empêcher un décrochage à très faible vitesse !!!

superbe

Merci Zephyrage

Ce sont de formidables voltigeurs, je les laisse au masculin parce que les corbeaux également. Nous en avons une colonie, au moins une centaine sinon le double, à moins de deux kilomètres de la maison.

Elles s'envolent tous les matins pour rentrer à la nuit tombante. Leur route, toujours la même, passe juste au dessus du jardin.

Les jours de grand vent c'est un réel plaisir que de les voir virevolter. Par moment elles planent sur place dans la bourrasque, puis soit ouvrent tout grand la voilure, ou au contraire ferment tout et il faut voir les pirouettes aériennes qu'elles font. Vraiment impressionnant, et on voit bien qu'elles se font plaisir !

J'espère avoir un jour la chance de les photographier dans ces figures.

Belle série Daniel.

Bien captées ces corneilles !

Belles prises; pref pour 1 et 2 , la map de la 3 etant sur l'arbre et plus sur la corneille.
Quasiment un N&B (cf l'histogramme dans LR). Difficile à gerer l'expo sur ce type de photo (les HL sont vite cramées et les noirs bouchés, et là pas possible de faire un bracketing)
100-400 avec GX7 ça doit pas etre facile à gerer, c'est deja pas facile avec le GH qui dispose d'une bien meilleure prise en main.
Ca va faire presqu'un an que j'utilise le 100-400 et finalement j'ai repris la stratégie du 100-300 pour ces photos d'animalier bougeant. AF spot et  sujet en plein centre du cadre puis recadrage en PT.
avantages:
(surtout avec le 100-300) le sujet est à l'endroit le plus performant de l'objo (le 100-400 est bon aussi dans les coins).
le sujet au centre laisse de la marge pour eviter d'avoir un sujet hors cadre quand il bouge (comme la 4) .
Cette technique a un inconvenient c'est de recadrer en PT donc perdre un peu de pixel (d'ou l'interet d'un capteur 20mpx)

Là tu pousses la dynamique de ton capteur un peu trop loin Maurice ...euh...Daniel

Spoiler:

Il ne sait plus où il habite le pauvre

En tout cas tu t'en sors très bien Daniel, avec des bien jolies prises

Bien captées en effet! et tu t'en sors très bien niveau "ciel pourris"!

Les corneilles sont des oiseaux étonnants (les corvidés en général). Bon par contre, niveau chant, on repassera

Merci à vous tous pour ces commentaires sympathiques, et en particulier à Jacques Berthier pour son analyse sur le plan pratique.

Le GX 7 a ce que j'appelle des automatismes contraignants. C'est à dire que tu te mets dans un mode A ou S et tu règles la sensibilité ISO sur variable avec une limite. La logique voudrait que seule la sensibilité varie ... eh bien non ça peut bouger ailleurs ! La parade c'est de se mettre en tout manuel et corriger soi-même en fonction du passage des nuages.

A presque 80 balais, on ne shoote plus à bras tendu avec un 400 (angle 3.1°) ! Ça se passe donc à l’affût sur trépied et en prenant en compte la profondeur de champ. Ici je fais le point sur une branche que je sais être exactement à 48 mètres de l'appareil, ce qui à 400 mm avec f/8 donne un pdc de 3.30 m (1.59 devant et 1.71 derrière), le cadre couvert est de 2.06 m x 1.55 m ... il n'y a plus qu'à prier pour que les bestiaux arrivent dans cette tranche et surtout d'avoir le doigt sur le déclencheur au bon moment ! La photo sous spoiler "Fâcherie de corneilles" est la démonstration par l'absurde de ce qui précède